« La Lettre du Mardi de
notre FMNS» n° 32 du 1.8.2017
Informations hebdomadaires
gratuites par mail
à toute notre branche
professionnelle ou saisonnière.
FEDERATION DES MAITRES
NAGEURS SAUVETEURS
Bureau
central : 11 rue Henri Barbusse 33110 LE BOUSCAT
nouveau tél : 05 24 61 44 81 — mail :
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** Bonne
entente, ET publicités sont indispensables
pour dispenser des leçons en
bon nombre et de bonne qualité.
NOTE FMNS
1.8.2017 : malgré
les articles que nous avons fait paraître dans nos dernières revues, la plupart
des MNS n’ont pas modifié leur publicité. Nous n’avons rien vu paraître sur
internet. Nous avions conseillé deux articles gratuits dans le journal local
peu avant les paies de juin et de juillet informant de l’ouverture puis du
fonctionnement de la piscine, avec la photo du MNS en gras plan devant sa
piscine ou ses élèves. On n’a pas vu grand chose. Les MNS doivent se faire la
photo et l’article et les porter au journal en présentant l’article pour être
gratuit comme une information, non comme une publicité Notre FMNS s’est
proposée pour imprimer gratuitement des affichettes (21X29.7cms) à distribuer
dans les magasins, nous n’avons eu que très peu de commandes.
Nous rappelions pourtant à l’attention des collègues qu’une bonne publicité
double le nombre de leçons sur une saison.
Problème dans
beaucoup de piscines : la répartition des leçons entre MNS :
il est bien évident
que si nous encaissons chacun pour soi, un client va venir le lundi et recevoir
les explications du MNS Dupont (qui est de service) et quand il va revenir le
mardi pour payer ce peut être le MNS Durand qui est de service qui va
encaisser. Il y a de quoi fulminer de s’être fait «piquer» ce client. Quand le
téléphone sonne, c’est celui qui va courir le premier au téléphone.
Pour une bonne entente dans une piscine, il faut absolument répartir à égalité
les recettes et le travail, sinon nous avons vu ces dernières années des
conflits qui en arrivaient aux insultes et parfois même aux menaces de coups.
Une bonne
argumentation ne «débine» pas les collègues :
vendre des leçons de
natation ou d’aquagym : c’est du commerce, et comme dans tout commerce le fait
de rabaisser le travail d’un collègue est rapidement catastrophique pour tous,
au point que dans certaines piscines l’employeur, victime lui aussi de ces conflits
en est arrivé à prendre directement lui même les recettes des leçons de
natation pour avoir la paix. Une bonne argumentation consiste à expliquer son
travail et ses résultats. Un MNS n’a RIEN à gagner à sous estimer, face aux
clients, le travail des collègues qui vont le lui rendre rapidement.
Une publicité
directe et gratuite est très efficace :
Le fait d’aborder deux mères de famille par jour qui ont des enfants
susceptibles d’apprendre à nager, sur la piscine pour donner des conseils permet
d’amener en moyenne un forfait par jour supplémentaire soit du 1er juillet au
13 août : 44 jours =
44 X 140 euros
= 6 160 e en plus.
Notre
FMNS se tient toujours à votre disposition pour vous envoyer gratuitement des
affichettes individualisées pour cette publicité dans les magasins et à
l’entrée des piscines.
Les enfants sont attachés à recevoir leur brecet de natation en fin de cycle
qui est leur premier diplome, souvent affiché au mur de leur chambre. Ce ne
doit pas être négligé.
Notre FMNS fournit à nos adhérents FMNS par retour de
courrier le paquet de
100
brevets au prix de 26 euros TTC port compris.
Bonne saison Le secrétaire général.
** 5
janvier 2016 -
Noyade en maternelle - Enfant dans le coma.
Réanimation
réussie - Dépôt de plainte des parents
Piscine
intercommunale du Val de Villé à Bassemberg (Bas-Rhin)
Le 1er mars 2017 le juge a rendu
un non-lieu
Un peu
plus d’un an après la réanimation d’une fillette, Mélina MOSSER retrouvée
inanimée, lors d’une sortie scolaire, une ordonnance de non-lieu a été rendue.
C’était la toute première sortie à la piscine, pour les enfants du RPI
(regroupement pédagogique intercommunal) de Saint-Martin et Breitenbach, le 5
janvier 2016 à Aquavallée à Bassemberg. Lorsque les enfants ont été regroupés
en maillot en bain, avant que soit donnée l’autorisation d’aller dans l’eau, la
disparition de la petite fille a été remarquée. Elle avait échappé à la
vigilance des nombreux encadrants et a été retrouvée dans l’eau, en arrêt
cardio-respiratoire. Réanimée grâce à l’intervention des maîtres-nageurs puis
des pompiers, elle a été évacuée d’urgence à l’hôpital de Hautepierre, avec
l’hélicoptère de la sécurité civile.
« Pas de
faute pénale » : une procédure au civil envisagée
Plongée pendant plusieurs jours dans
un coma artificiel, la victime « a aujourd’hui bien récupéré, mais on ne peut
pas exclure des séquelles qui pourraient se révéler d’ici quelques années » ,
indiquent les conseils de l’enfant et de ses parents, Mes Thierry Moser et
Delphine Gilbert. Les parents avaient porté plainte contre X, « pour faire la lumière
sur les circonstances de cette noyade : comment a-t-il été possible que personne ne l’aperçoive se
diriger vers le bassin ? » , poursuivent les avocats.
La méticuleuse enquête de flagrance de la brigade de recherches de Sélestat a
débouché sur l’ouverture, fin janvier 2016 par le parquet de Colmar, d’une
information judiciaire contre X pour « blessures
involontaires par la violation manifestement délibérée d’une obligation de
sécurité ou de prudence, ayant entraîné une ITT (incapacité totale de travail)
n’excédant pas trois mois ». En rendant une ordonnance de non-lieu le 1er mars 2017, le
juge d’instruction a considéré qu’ « au vu des éléments du dossier, la preuve
n’est pas rapportée d’une faute pénale commise par quiconque » , résument Mes
Moser et Gilbert. L’affaire a été portée en appel devant la chambre
d’instruction (contrôle du juge d’instruction) puis retirée. La famille
envisage de se pourvoir maintenant devant un tribunal civil pour demander des
dommages et intérêts FIN
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