FEDERATION DES MAITRES
NAGEURS SAUVETEURS
Bureau
central : 11 rue Henri Barbusse 33110 LE BOUSCAT
nouveau tél : 05 24 61 44 81
— mail :
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« La Lettre du Mardi de
notre FMNS» n° 66 du 27.3.2018
Informations hebdomadaires gratuites par mail
à toute notre branche professionnelle ou
saisonnière.
Toute personne hors FMNS peut s’inscrire gratuitement à
notre «La Lettre du Mardi» par mail.
Il lui suffit de nous communiquer son nom, prénoms,
adresse postale.
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n Une
application pour sauver des vies.
Un médecin le Dr Lionel LAMHAUT a mis au
point une application à même de répertorier tous les volontaires capables de
pratiquer une réanimation cardiaque et leur emplacement.
Chaque MNS ou BNSSA, chaque secouriste, chaque personne capable peut y
être répertorié et pourra être appelé immédiatement si une personne à proximité
tombe en arrêt cardio-ventilatoire.
Consultez
le site et inscrivez vous à :
sauv-life.fr
Lors d’un arrêt
cardiaque un patient perd 10% de chances de survie à chaque minute. Pompiers et
Samu mettent en moyenne 12 à 13 minutes pour arriver. Un accidenté doit donc
être secouru immédiatement et sur place.
Sauv Life : pour sauver des vies
Le SAMU de Paris vient de lancer une application permettant de faire appel à
des bénévoles en cas de malaise cardiaque dans la rue. Déjà plusieurs milliers
de personnes se sont inscrites sur ce service baptisé Sauv Life.
Désormais en cas d'arrêt cardiaque, les régulateurs du SAMU préviennent les
secours, mais aussi des volontaires. En moins de 15 secondes, les passants les
plus proches de la victime reçoivent un message via un système de
géolocalisation. Ceux qui interviendront sont choisis par un algorithme pour
relayer la personne qui a donné l'alerte. Ces volontaires sont sur place dès
les premières minutes après l'arrêt cardiaque.
Bientôt
disponible dans une vingtaine de SAMU
Formé aux gestes ou pas, chacun est
capable d'intervenir, rappelle le professeur Pierre Carli, médecin-chef du SAMU
de Paris. "On ne peut pas faire de mauvais gestes. Quand quelqu'un devant
vous est en train de mourir et que vous ne faites rien, c'est ce qui peut
arriver de pire. Il faut intervenir, il n'y a pas de danger à intervenir",
assure le médecin. Trois ans de recherches et un test grandeur nature ont été
nécessaires. 6 000 volontaires se sont déjà inscrits. À terme, l'application devrait
être déployée dans une vingtaine de SAMU en France n
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n PEDOPHILIE
à la piscine, le prof. récidiviste est condamné à 7 ans de prison ferme
Piscine et Tribunal correctionnel
du Havre 2016 - Cour d’appel de Rouen le 9 mars 2018
Agression sexuelle sur mineur et détention d’images pédopornographiques, cet ancien prof. de français, Aurélien
Collignon, a été maintenu en détention.
Devant la cour d’appel de Rouen, le trentenaire au ton supérieur, a réponse à
tout. Il conteste avoir baissé le slip de bain d’un enfant à la piscine de la
Mare-Rouge au Havre. Le garçon, âgé de 13 ans, explique pourtant que le prévenu
l’a « masturbé » et qu’il a tenté « de repousser » son agresseur. L’ex-prof de
français en lycée professionnel affirme le contraire : « Il courait dans les
douches, chahutait et m’a percuté. Je l’ai repoussé, il s’est senti mal et m’a
alors demandé du shampoing. » Le trentenaire, célibataire et sans enfant était
déjà connu, depuis 2015, dans d’autres piscines de l’agglomération havraise
pour son comportement inquiétant. Il fréquentait le petit bassin et
s’approchait d’enfants. Un jour, il se serait « touché sous l’eau en poussant
des gémissements ». Une autre fois, il aurait été vu faisant le poirier avec le
sexe en érection près d’un groupe d’enfants. Le prévenu dément tout devant les
magistrats.
Navigation cachée sur le Darknet
Lors d’une perquisition à son domicile,
les enquêteurs retrouvent sur une clé USB, des images pédopornographiques.
Malgré les précautions prises par le prévenu qui navigue sur le Darknet
(système de navigation anonyme sur internet), via le logiciel Tor, l’expert en
informatique retrouve ses échanges (sur trois années) sur des forums ou la
messagerie Mirc. Des messages au contenu nauséeux. Sous le pseudonyme Hésiode,
l’ancien prof, explique à d’autres pédophiles, «
la meilleure façon d’aborder des enfants : il faut passer le Bafa et devenir
instit ou tout simplement reprendre le club de sport local » ; « il préférait aller dans une
piscine de pauvres, car les parents y sont absents. »
Le prévenu a été maintenu en détention et son nom sera inscrit au fichier
judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes
(Fijais). Il avait été radié de l’Éducation nationale, en 2008, à la suite de
précédentes condamnations pour les mêmes motifs FIN
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