Les vêtements et accessoires professionnels
(tee-shirts, débardeurs, casquettes sifflets..) sont à la charge de
l’employeur.
Nous sommes tous
confrontés à des incivilités croissantes de la part d’individus, qui
manifestement s’ennuient autour des piscines et des plages. Nous, MNS et
BNSSA nous avons de plus en plus de mal à faire respecter l’ordre, en
plus subissant après accidents ou noyades des gens devenus (à la mode
américaine) de plus en plus procéduriers, y compris quand la noyade s’est
bien terminée. Nous avons donc besoin, non seulement pour nous faire
écouter, mais aussi pour être distingué en quelques secondes, et aussi
sur le plan commercial pour nos leçons, d’une tenue de travail qui se
voit de loin. Ces vêtements professionnels ne sont pas destinés à nous
faire connaître : nous le sommes déjà !
Notre FMNS consciente de ces faits a inclus, sans augmenter le montant de
la cotisation, un tee-shirt ou un débardeur, une casquette et un sifflet
chaque année. Toutefois nous avons besoin de rechange et nous vous
conseillons de réclamer deux tee-shirts par MNS ou BNSSA, à l’employeur.
Que le MNS ou BNSSA fasse partie ou non de notre FMNS.
En matière de facturation administrative, le port doit être compris dans
le prix. Le paiement se fait après livraison et après facturation. Ces
objets sont donc vendus aux employeurs et à nos adhérents (à prix
adhérent).
Tarifs employeurs
TTC port compris :
-- Tee-shirt
(manches courtes) ou débardeur (sans manches) 15 euros.
-- Casquette 9
euros,
-- Sifflet 4
euros.
Toutes les commandes passées par mails sont
expédiées le jour même, en urgent.
Nous joindre :
1°Après toutes les
usurpations de titres, la gendarmerie nous oblige à enregistrer les noms, prénoms,
adresses postales complètes et mails de TOUTES les personnes qui porteront ces vêtements
professionnels attestant posséder un brevet délivré par l’Etat.
2° tee-shirts (manches courtes) ou débardeurs (sans manches)
3°-- les tailles : S, M, L, XL, 2XL ,3XL
4°-- la couleur rouge ou blanc
5°-- Pour un MNS ou pour un BNSSA
Il est recommandé de commander une couleur pour les MNS, une couleur pour
les BNSSA.
Les leçons «
gratuites pour tous » :
une arnaque contre
les MNS.
Il est courant de
dispenser quelques forfaits, à quelques enfants de nécessiteux dans la
commune. Souvent ce service sert de paiement à la location de la piscine
pour les leçons. Ces forfaits ne doivent pas dépasser une dizaine dans la
saison. Les élus distribuent cette «générosité» et tout le monde est
content.
La ministre actuelle a décidé de fournir des BPJEPS-AAN à des mairies ou
des associations pour dispenser des leçons gratuites à tout le monde.
C’est oublier que les MNS ont payé des stages entre 4 000 et 8000 euros,
(prix de revient avec hébergement et déplacement plus de 10 000 euros),
ils ont sacrifié une année scolaire pour faire une saison et que notre
paie est trop faible après tout ces investissements. Si nous n’avons pas
le bénéfice des leçons, nous travaillons à perte. Il vaut mieux aller
vendre des glaces sur les plages. Nous sommes souvent contraints à payer
deux loyers par mois (hiver et saison). Bon nombre d’employeurs cette
année 2021 savent que le nombre de MNS diminue et que s’ils demandent en juin
dérogation pour employer un BNSSA, ils l’obtiendront facilement. Donc bon
nombre de mairies n’emploient plus aucun MNS saisonnier. Ils n’en font
même plus la demande. Ils ont souvent des BNSSA dans la commune, sans
devoir les loger et en les payant moins. Plus personne ne peut apprendre
à nager dans la commune. Au lieu de fournir ces communes, sans MNS,
beaucoup de DDJS mettent un MNS en supplément dans des piscines où il y
en a déjà un. Le MNS local est pris pour un «voleur» en réclamant un
juste prix de son travail. Les actions (ou inactions) de cette ministre
sont CATASTROPHIQUES pour tout le monde. Nous conseillons donc aux MNS,
qui n’ont pas le bénéfice des leçons en saison, de quitter leur emploi
après avoir mis en demeure ces employeurs indélicats, en les sommant de
modifier immédiatement leur contrat de travail. Ces MNS doivent entrer en
contact avec nous pour avoir une autre place dans les jours qui suivent.
Cette place ne sera pas forcément dans leur département. En ce moment de
la saison, il n’y a pas des «listes d’employeurs» en attente, mais le
placement se fait, cas par cas, par téléphone et mails d’heure à
heure. J.M.Lapoux FIN
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